Si l’on devait établir une hiérarchie des épreuves auxquelles peut être confronté un couple, l’infidélité arriverait probablement en tête. Car la trahison vient semer la discorde au cœur même de la relation et sape les fondements d’une confiance acquise avec le temps et l’expérience. Faut-il passer l’éponge sur l’infidélité et s’efforcer d’oublier ? Et comment renouer avec la relation d’avant la trahison ? Enquête sur une souffrance dont on parle peu et qui empoisonne la vie de nombreux couples.
La première étape consiste à comprendre. Comprendre ce qui n’allait pas dans le couple pour que l’autre ait ressenti l’envie (le besoin ?) de trouver du réconfort ailleurs. Après la naissance de leur premier enfant, nombreuses sont les femmes qui délaissent un peu leur mari, tout acquises à la joie de la maternité. Le conjoint peut se sentir exclu de la relation fusionnelle qui se crée entre une mère et son bébé. Beaucoup d’hommes sont alors tentés d’aller voir ailleurs. Il est important que les hommes tirent la sonnette d’alarme pour exprimer ce qu’ils ressentent, et que les femmes veillent à inclure le papa dans cette relation souvent trop exclusive.
Le pardon est certes une étape nécessaire pour recréer une relation de confiance entre les deux conjoints. Mais il ne peut y avoir de pardon sans regrets sincères de la part de celui qui a trompé. La résolution du conflit dépendra du regard que le mari infidèle posera sur son acte. S’il le voit comme une défaillance ponctuelle, liée à une période difficile que traversait le couple, alors la femme pourra commencer un chemin de pardon. L’essentiel est la prise de conscience de la part des deux conjoints de la gravité de l’acte et de la difficulté de reconstruire une vie de couple après cela.
La dernière étape concerne les femmes qui ont connu l’infidélité mais aussi toutes les autres. Il s’agit de mettre en place au quotidien une vigilance mutuelle dans le couple. Non pas une surveillance, qui introduirait un climat de méfiance et rendrait la vie impossible aux deux conjoints ; mais plutôt une conscience de la nécessité d’entretenir la relation par une communication réelle. Il faut pouvoir parler à cœur ouvert, et de façon régulière. Par-dessus tout, gardons en tête que la vie de couple n’est pas un long fleuve tranquille mais un parcours semé d’embûches. Avançons donc le cœur léger, tout en regardant où l’on met les pieds.
Faut-il pardonner les infidélités ?
Quelques étapes à suivre pour aller de l’avant après une infidélités...
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à mon avis l?infidélité est l'une des cause de la méfiance ;ce qui m'amène à dire une chose est de pardonné ,mais comme l'on dis souvent ,une blessure peut être guérir mais la parole blèsent ne peut guérir.mais comme l?habitude est une seconde nature je crois pas qu'on peut pardonné !!!!!!!!
cc a touse mon conjoint ma etait infidele koi lui il ne dit que s etait que une amis et il sais rien passe j ai apelle cette fille qui ma dit la mene chose nais j ai fouille le telephone de mon conjoint et j ai vue des photos de elle qui n avez pas efface et un apelle il lui avez encore passe et q ui ne dit qui sais pas pourkoi son munero et dans sais derniere apelle je l aime nais il ne degoute tellement j ai deux enfants avec lui et j ai peur quelle souffre nais je ne dit que je ve par continue conne sa des qui sort j ai une boule au ventre peur qui la voir ou qui l apelle parce que elle abite a 5 mn de chez nous mene si il ne dit qui la voir plus j ai plus confience en lui je l aime nais j ai du degout et j arrive pas a lui pardonne se qui ma fait je lui dit de partire avec elle si il l aime nais il ne dit qui l aine pas qui aine a moi mene sa je sais plus si sais vrait ou pas aide moi conseil moi spv
Le pardon est le privilége de la victime. Personne par même le meilleur conseil de la victime ne peux se sibstituer à elle.
De dis à tous les lecteurs et en particulier à ceux/celles qui pronnent le NON au pardon, sachez seulement que pardon ou pas la CULPABILITE est le purgatoire permanent du coupable. En effet, dès lors qu'il y pardon, la victime lance un message très fort qui signifie à l'infidéle qu'il est et restera coupable toute sa vie; alors qu'en cas de NON pardon le message est: on est quitte tu m'as fais du mal, je me venge: d'où une atténuation plus ou moins relatice de la culpabilité. Or je pense que la culpabilité est un mal nécessaire sur la voie de la réconciliation.
De dis à tous les lecteurs et en particulier à ceux/celles qui pronnent le NON au pardon, sachez seulement que pardon ou pas la CULPABILITE est le purgatoire permanent du coupable. En effet, dès lors qu'il y pardon, la victime lance un message très fort qui signifie à l'infidéle qu'il est et restera coupable toute sa vie; alors qu'en cas de NON pardon le message est: on est quitte tu m'as fais du mal, je me venge: d'où une atténuation plus ou moins relatice de la culpabilité. Or je pense que la culpabilité est un mal nécessaire sur la voie de la réconciliation.
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