Un peu d'histoire
Le terme de Sodomie vient du nom de la ville de Sodome qui, selon la Bible, fut détruite par Dieu après que ses habitants eurent tenté de violer des anges de Dieu réfugiés chez Loth, le neveu d'Abraham.
On la retrouve ensuite à différentes époques et notamment à la Grèce Antique entre le maître et son élève, qui considéraient cette pratique comme une façon de transmettre le savoir.
Un mot d'ordre : avoir confiance !
Aujourd'hui, la sodomie se résume à une pratique sexuelle encore redoutée par nombre de femmes et qui soulève des questions. La première réside peut-être dans l'acte en lui-même, qui, au-delà de la peur de la douleur qu'elle peut susciter, passe pour un acte humiliant voire une pratique animale. Les hommes fantasment à ce sujet car le sphincter exerce une pression plus importante que le vagin sur la verge, mais aucune femme ne doit se la laisser imposer. Un rapport d'amour et/ou une grande confiance en son partenaire sont indispensables pour la tenter et éviter les désagréments douloureux.
Dans un premier temps il faut penser à lubrifier l'anus avec un lubrifiant à base d'eau ou de silicone, en aucun cas de la vaseline, trop grasse qui abîme le préservatif. Et oui, un préservatif, car si la sodomie n'est évidemment un mode de reproduction, elle n'empêche pas la transmission des maladies vénériennes.
Enfin comme dans toute votre vie sexuelle, il s'agit d'envisager la sodomie comme un jeu à pratiquer entre joueurs attentionnés et de bonne foi.
Notre dossier sur la sexualité :
- Comment avoir un orgasme ?
- Les préliminaires
- Le kamasutra : toutes les positions ( levrette, missionaire, tigre, andromaque ... )
- La sodomie : en savoir plus
- La fellation
En parler avec son partenaire pour évacuer les tabous et savoir attendre le bon moment est plus judicieux que la soumission ou l'imposition.
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