Une épidémie moins forte qu'on le pensait
Selon certaines études, seulement 10 % de la population aurait contracté le virus, et le taux de mortalité ne serait pas plus élevé que pour une grippe normale. Lorsque le nouveau virus s'est développé au Mexique en mai dernier, le nombre de décès dans ce pays était tellement élevé que les scénarios catastrophes et les rumeurs pessimistes sont allés de bon train. Néanmoins il s'agissait d'estimations pas de prédictions. Aujourd'hui tout le monde est en proie à une psychose générale.
Des divergences au sein du corps médical
En France, seulement 42% des médecins libéraux sont prêts à se porter volontaires pour participer au plan de vaccination. Pas mieux du côté des infirmières : seulement un quart d'entre elles (soit 26%) accepte de se faire vacciner (source : Syndicat National des Professionnels Infirmiers). Jamais content ces français vous me direz...A cela je vous répondrai certes, mais pour le coup nous ne sommes pas les seuls à râler. Et pour cause : cette contestation se répand à travers le monde entier :
- Grande Bretagne août 2009: Seulement un tiers des infirmières britanniques accepterait de se faire vacciner
- Hong-Kong: une étude parue dans le British médical journal montre que 48% des professionnels de la santé refusent l'injection
- Etats-Unis: les soignants vont jusqu'à refuser catégoriquement la vaccination obligatoire!
Et après on s'étonne que 82% des vaccins ne veulent pas du vaccin...au train où vont les choses c'est sûr qu'on est mal barrés. Mais pourquoi tant de haine ? Quel est le problème avec ce vaccin ?
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