Zones érogènes : à la conquête de nouveaux horizons

Découvrez les régions clés de votre corps pour pimenter vos ébats amoureux

On vous bassine avec les 14 000 positions du kamasutra, sur les sextoys, les produits aphrodisiaques mais on a oublié l'essentiel ! Vous savez ces endroits, un peu mystérieux, un peu méconnus voire souvent oubliés dans les préliminaires...J'ai nommé les zones érogènes ! On y pense pas assez, mais ces régions clés de notre anatomie ont un rôle non négligeable dans les ébats amoureux. Alors une zone érogène c'est quoi ? Il s'agit d'une partie du corps très prompte à déclencher l'excitation sexuelle. En bref, pour nous aider à grimper aux rideaux, y a pas mieux !

Les zones érogènes primaires et secondaires

Zone érogène...grimper aux rideaux...hum...ok me direz vous, mais concrètement c'est où ? Tout d'abord sachez, mesdames, qu'on distingue deux types de zones érogènes : les zones primaires et les zones secondaires. Les primaires chez les hommes comme chez les femmes sont les organes génitaux et les zones secondaires... on y reviendra plus tard.

Zones érogènes chez la femme

Chez la gente féminine, les zones primaires englobent le clitoris, le vestibule de la vulve, les petites et grandes lèvres ainsi que le vagin. Le clitoris est la zone érogène la plus sensible, il est donc recommandé aux mâles souvent quelque peu cavaliers (pour ne pas dire bourrins) d'être délicats...( si, si c'est possible)

Le point G féminin : Pour le coup, bourrins s'abstenir ! Cette zone est située dans la face antérieure du vagin à 4 centimètres de la vulve. Si sa stimulation peut provoquer des orgasmes autrement plus forts que les clitoridiens, cette zone est beaucoup plus difficile à atteindre et peut être douloureuse lors de caresses trop directes. Bonus: pour titiller le point G pendant la pénétration certaines positions du kamasutra vu seront d'une grande aide: Andromaque, la cuillère, les jambes à son cou...etc

Les zones secondaires : C'est là que l'affaire se corse...car ces fameuses zones secondaires en question sont plus difficilement perceptibles et subjectives à chacune. Chez les femmes, la peau et les muqueuses sont très sensibles à toute sorte de sollicitation notamment, les grandes et petites lèvres à l'entrée du vagin. Mais cela ne s'arrête pas là, les seins et les mamelons sont très facilement excitables par des caresses et des frottements (attention, il ne s'agit pas pour autant de les tripoter comme des boutons de radio...). Les fesses comportent également de nombreuses terminaisons nerveuses...sans oublier le cou, et le fameux lobe de l'oreille incontournable chez les hommes comme chez les femmes. A mordiller sans modération pour faire monter la pression...

Zones érogènes chez les hommes

Zones primaires : Le mâle est principalement sensible aux stimulations sexuelles sur son sexe ( sans blague me direz vous!). Le frein du gland est la partie la plus riche en capteurs sensoriels et donc plus prompte à démarrer au quart de tour. Vient ensuite tout le package: testicules, la couronne du gland, le périnée et pour certains l'anus...

Le point G chez l'homme : Oui, il existe ! comme ça pas de jaloux ! A mi-distance entre la base du pénis et l'orifice anal. A palper avec la pulpe de son médius pour effet bête sauvage garanti !

Zones secondaires : Malgré leur côté parfois « brut de décoffrage» quand on en vient au sexe, les hommes sont, comme les femmes également sensibles à quelques sollicitations plus subtiles sur le reste du corps: des oreilles mordillées, bisous dans le cou plus un massage du dos agrémenté de quelques coups de langue vers la chute des reins ne seront pas pour leur déplaire...

Conclusion : A vos langues, à vos doigts, feu !